
Début novembre, c'est une date qui est bloquée d'année en année pour le salon EPOQU'AUTO. Ce grand Salon du véhicule ancien, qui s'avère aujourd'hui comme le deuxième de France après Rétromobile à Paris. Nombre de nos adhérents iront au salon, le vendredi dès l'ouverture, d'autre le samedi et c'est une tradition au CARMS, nous partons en groupe le dimanche.
7h45 le dimanche 6 novembre, une bonne quinzaine de passionnés se repartissent dans les voitures et direction Lyon. Nous arrivons juste après l'ouverture du salon, munis de nos précieux billets en tarif club, nous permettant de passer rapidement le contrôle d'entrée et de nous retrouver plongés dans un autre monde. Pour cette 38ème édition, c'est le hall 4 de plus pour porter la surface à 51000 m2. Plus de 430 Marchands (dont 40 marchands de véhicules de collection, et aussi des spécialistes en pièces détachées, des artisans, des vendeurs de miniatures, de jouets, de journaux, de vêtements d'époque....) auxquels s'ajoutent plus de 147 Clubs de Marques.
Chacun part de son côté selon ses préférences, nous ne retrouverons qu'au détours des allées et dans 3h00 dans le hall d'entrée pour le rendez-vous casse-croûte.
Les marchands de voitures nous offrent des autos de très hhaute qualité de restauration mais avec des prix qui s'envolent comme sur le stand des Ateliers des Coteaux avec ses Jaguar, Austin Healey, Porsche, Facel Vega sans oublier Ferrari. Puis la visite continue sur le stand de la Fondation Berliet qui nous présente les automobiles Berliet avec ses nombreux torpédos du début de l'aventure automobile jusqu'ࠬa Dauphine de 1936.
Tout en chinant chez les marchands de pièces d'origine et refabrication, direction le plateau AUTODIVA qui présente ses voitures de course de la Sport Proto Cup, LOLA T594C (1983), T298 (1978), CESA 740 (1974), LOTUS 19 (1962)...
Cette année la marque française DELAHAYE était mise à l'honneur sur un bel espace.
De la Type 1 aux 235, les autos étaient bien mises en valeur mais aussi camions et Jeep. Les carrosseries spéciales côtoyaient des autos de course, une flamboyante 135MS à carrosserie Saoutchik de 1949 avec son V6. 1949: l'apogée du luxe à la française.
Dans le hall 6, plus de 400m2 étaient l'écrin des ASTON MARTIN, la prestigieuse marque anglaise magnifiée par le fameux agent 007. Ce plateau partait d'une antique 15/98 et on allait jusqu'à la One 77 (pour 77 exemplaires contruits pour les clients de la marque les plus exigeants 350 km/h) en passant par les Vulcan, DB10, DB7, Vantage, DBS, DB6, MkII et mꭥ une très rare DB1. Les 3A (organisateur du salon) avait l'aide de la marque Gaydon en Angleterre et de deux clubs pour réunir ces autos de légende. Dommage qu'il n'ai pas été prévu un éclairage pour mettre encore plus en valeur ces chefs d'oeuvres.
Pour la 5ème année un peu plus loin, même si nous ne sommes pas des passionnés de motos, il y avait comme chaque année de belles piècess où la marque lyonnaise FOLLIS était àl'honneur. J'ai même vu une fabrication française à plus de 100 000€ pour seulement 2 roues !
Nous ne pouvions pas visiter ce salon, sans rendre visite à nos copains, nos locaux. Notre ami Patrick D. et son fils Baptiste exposaient fièrement une Dauphine Proto 1600 cm3 de 160 cv qui attirait beaucoup de monde et qui était renseignée par le fiston. Merci au CAR Lyonnais pour son accueil.

Un peu plus loin nos amis des américaines / Atelier Custom Shop, exposaient les break de Bernard dans sa couleur verte et ses portes plaquées de bois d'érable. Juste à côté dela Buick spéciale de 1958 de Jean-Michel qui attire toutes les attentions des visiteurs avec la peinture particulière du toit de l'auto dans le plus style chicanos. Sur le stand du village Citroën le 2 cv de René, trône toutes portes ouvertes devant le pique-nique sans que l'homme ne soit visible. Petit bonjour amical ࠊean et Evelyne sur le stand JADE Miniatures.
Pour les dédicaces, l'ami Jeannot RAGNOTTI sera visible sur le stand CERA (Fédération Française des Clubs Renault et Alpine) et sur le CAR Lyonnais. Plus loin c'est Thierry DUBOIS qui dédicassait ses adorables BD mettant en scène, les autos des années 50/60, la natioane 7... puis c'est Bob NEYRET qui joue du stylo devant sa fameuse DS que nous voyons chaque hiver lors du Monte Carlo Historique.
12h30 c'est le moment de convivialité avec un bon casse-croûte " au cul des voitures " sur le parking visiteurs sous un temps client. Puis petit tour sur le parking visiteurs venus en anciennes avant de repartir à l'assaut une nouvelles fois du salon.
Pour certains d'entre nous, passage sur la traditionnelle vente aux enchères OSENAT. Sans trop de surprise, la Delahaye 135 MS carrossée par Chapron change de main pour 200.000 €, avec une estimation comprise entre 150.000 et 180.000 €.La Porsche rouge s'arrête à 135000€ pour une estimation comprise entre 135.000 et 200.000 €.
Porte d'entrée sur l'univers des voitures anciennes, Youngtimers rassemble des voitures entrées dans la légende, bien qu'elles aient vu le jour dans les années 80. Cette année une attention toute particulière sera portée sur les 2 marques japonaises Honda et Toyota.
124 clubs, cela fait du monde et les stands sont de toutes beautés. Les clubs Citroen sont rassemblés sous l'enseigne Citroen Héritage. L'aventure Peugeot regroupe les autos au lion et Renault Classic celles au losange.
Les stands de déco, liés au monde de l'auto, sont de plus en plus nombreux au village des artistes. N'oublions pas les stands de matériel de réparation, de miniatures, livres, ateliers de restaurations, ...mais il faudrait rester 2 jours pour tout avoir le temps de tout découvrir.
Il est 16h30, nous ne pouvons plus marcher, les jambes sont lourdes, les douleurs reviennent, il est temps de quitter cette 38ème édition EPOQU'AUTO avec des étoiles dans les yeux.
Promis nous y serons pour la 39ème car on en redemande.
Rendez-vous en 2017, les 3-4 et 5 novembre.
Patrick VRAY

Début novembre, c'est une date qui est bloquée d'année en année pour le salon EPOQU'AUTO. Ce grand Salon du véhicule ancien, qui s'avère aujourd'hui comme le deuxième de France après Rétromobile à Paris. Nombre de nos adhérents iront au salon, le vendredi dès l'ouverture, d'autre le samedi et c'est une tradition au CARMS, nous partons en groupe le dimanche.
7h45 le dimanche 6 novembre, une bonne quinzaine de passionnés se repartissent dans les voitures et direction Lyon. Nous arrivons juste après l'ouverture du salon, munis de nos précieux billets en tarif club, nous permettant de passer rapidement le contrôle d'entrée et de nous retrouver plongés dans un autre monde. Pour cette 38ème édition, c'est le hall 4 de plus pour porter la surface à 51000 m2. Plus de 430 Marchands (dont 40 marchands de véhicules de collection, et aussi des spécialistes en pièces détachées, des artisans, des vendeurs de miniatures, de jouets, de journaux, de vêtements d'époque....) auxquels s'ajoutent plus de 147 Clubs de Marques.
Chacun part de son côté selon ses préférences, nous ne retrouverons qu'au détours des allées et dans 3h00 dans le hall d'entrée pour le rendez-vous casse-croûte.
Les marchands de voitures nous offrent des autos de très hhaute qualité de restauration mais avec des prix qui s'envolent comme sur le stand des Ateliers des Coteaux avec ses Jaguar, Austin Healey, Porsche, Facel Vega sans oublier Ferrari. Puis la visite continue sur le stand de la Fondation Berliet qui nous présente les automobiles Berliet avec ses nombreux torpédos du début de l'aventure automobile jusqu'ࠬa Dauphine de 1936.
Tout en chinant chez les marchands de pièces d'origine et refabrication, direction le plateau AUTODIVA qui présente ses voitures de course de la Sport Proto Cup, LOLA T594C (1983), T298 (1978), CESA 740 (1974), LOTUS 19 (1962)...
Cette année la marque française DELAHAYE était mise à l'honneur sur un bel espace.
De la Type 1 aux 235, les autos étaient bien mises en valeur mais aussi camions et Jeep. Les carrosseries spéciales côtoyaient des autos de course, une flamboyante 135MS à carrosserie Saoutchik de 1949 avec son V6. 1949: l'apogée du luxe à la française.
Dans le hall 6, plus de 400m2 étaient l'écrin des ASTON MARTIN, la prestigieuse marque anglaise magnifiée par le fameux agent 007. Ce plateau partait d'une antique 15/98 et on allait jusqu'à la One 77 (pour 77 exemplaires contruits pour les clients de la marque les plus exigeants 350 km/h) en passant par les Vulcan, DB10, DB7, Vantage, DBS, DB6, MkII et mꭥ une très rare DB1. Les 3A (organisateur du salon) avait l'aide de la marque Gaydon en Angleterre et de deux clubs pour réunir ces autos de légende. Dommage qu'il n'ai pas été prévu un éclairage pour mettre encore plus en valeur ces chefs d'oeuvres.
Pour la 5ème année un peu plus loin, même si nous ne sommes pas des passionnés de motos, il y avait comme chaque année de belles piècess où la marque lyonnaise FOLLIS était àl'honneur. J'ai même vu une fabrication française à plus de 100 000€ pour seulement 2 roues !
Nous ne pouvions pas visiter ce salon, sans rendre visite à nos copains, nos locaux. Notre ami Patrick D. et son fils Baptiste exposaient fièrement une Dauphine Proto 1600 cm3 de 160 cv qui attirait beaucoup de monde et qui était renseignée par le fiston. Merci au CAR Lyonnais pour son accueil.

Un peu plus loin nos amis des américaines / Atelier Custom Shop, exposaient les break de Bernard dans sa couleur verte et ses portes plaquées de bois d'érable. Juste à côté dela Buick spéciale de 1958 de Jean-Michel qui attire toutes les attentions des visiteurs avec la peinture particulière du toit de l'auto dans le plus style chicanos. Sur le stand du village Citroën le 2 cv de René, trône toutes portes ouvertes devant le pique-nique sans que l'homme ne soit visible. Petit bonjour amical ࠊean et Evelyne sur le stand JADE Miniatures.
Pour les dédicaces, l'ami Jeannot RAGNOTTI sera visible sur le stand CERA (Fédération Française des Clubs Renault et Alpine) et sur le CAR Lyonnais. Plus loin c'est Thierry DUBOIS qui dédicassait ses adorables BD mettant en scène, les autos des années 50/60, la natioane 7... puis c'est Bob NEYRET qui joue du stylo devant sa fameuse DS que nous voyons chaque hiver lors du Monte Carlo Historique.
12h30 c'est le moment de convivialité avec un bon casse-croûte " au cul des voitures " sur le parking visiteurs sous un temps client. Puis petit tour sur le parking visiteurs venus en anciennes avant de repartir à l'assaut une nouvelles fois du salon.
Pour certains d'entre nous, passage sur la traditionnelle vente aux enchères OSENAT. Sans trop de surprise, la Delahaye 135 MS carrossée par Chapron change de main pour 200.000 €, avec une estimation comprise entre 150.000 et 180.000 €.La Porsche rouge s'arrête à 135000€ pour une estimation comprise entre 135.000 et 200.000 €.
Porte d'entrée sur l'univers des voitures anciennes, Youngtimers rassemble des voitures entrées dans la légende, bien qu'elles aient vu le jour dans les années 80. Cette année une attention toute particulière sera portée sur les 2 marques japonaises Honda et Toyota.
124 clubs, cela fait du monde et les stands sont de toutes beautés. Les clubs Citroen sont rassemblés sous l'enseigne Citroen Héritage. L'aventure Peugeot regroupe les autos au lion et Renault Classic celles au losange.
Les stands de déco, liés au monde de l'auto, sont de plus en plus nombreux au village des artistes. N'oublions pas les stands de matériel de réparation, de miniatures, livres, ateliers de restaurations, ...mais il faudrait rester 2 jours pour tout avoir le temps de tout découvrir.
Il est 16h30, nous ne pouvons plus marcher, les jambes sont lourdes, les douleurs reviennent, il est temps de quitter cette 38ème édition EPOQU'AUTO avec des étoiles dans les yeux.
Promis nous y serons pour la 39ème car on en redemande.
Rendez-vous en 2017, les 3-4 et 5 novembre.
Patrick VRAY
